Remis au goût du jour récemment, le chou rave prend de plus en plus de place dans nos cuisine!
Rapé, cuit, en grattin ou en purée… voici le couteau suisse de la cuisine!
Il se cultive comme un chou mais se cuisine… comme un navet. Le chou rave est un légume d’hiver peu à peu remis au goût du jour en cuisine. Il se déguste en crudité ou cuisiné. On n’en consomme que les racines, pas les feuilles ; le chou rave est généralement commercialisé sans ses feuilles. Selon les variétés et les modes de cuisson, le goût du chou rave rappelle tantôt le navet et le chou, tantôt le céleri-rave et la pomme de terre.
Côté cuisine : Traditionnellement, les choux rave sont épluchés avant d’être cuits à l’eau, puis servis en purée, avec du beurre, du poivre et de la noix de muscade. On les utilise notamment pour parfumer les soupes d’hiver, agrémenter les potées, et se cuisinent au four (en gratin, par exemple) comme on le ferait avec des pommes de terre, des carottes ou des navets. Ils peuvent également être sautés à la poêle et pourquoi pas consommés crus, râpés en salade ou taillés en très fines tranches comme un carpaccio ou encore en bâtonnets à tremper dans une sauce au fromage blanc.
Côté santé : Un légume équilibré en vitamines et qui présente un très faible taux de lipides!
Nos critères de sélection : le chou rave doit être bien lourd en main (ce qui révèle la densité de la chair). À défaut, il risque d’être creux et filandreux. La peau du rutabaga doit être exempte de taches et de meutrissures. Privilégiez les specimens les plus petits. Leur chair est tendre et leur goût subtil. Ils développeront moins d’amertume à la cuisson.